YOM HAATSMAOUTH 5784 :  SOIXANTE SEIZE ANS DE L’ETAT D’ISRAËL

Chaque année, lorsqu’arrive le 5 Iyar, ce Lundi 13 Mai, nous nous demandons ce que nous avons vécu de plus que l’an dernier, de la même façon que nous devons nous demander ce que nous apporte de plus chaque fête que l’année hébraïque nous donne à  vivre, par rapport à la précédente.

Mais cette année 5784 est toute autre à tous les égards ! Elle restera marquée du signe de l’infamie et de l’opprobre, pour toujours.

Celle-ci avait à peine commencé, avec Roch Hachana, Kippour et Soukoth, que la plus grande catastrophe allait survenir sur Israël et bouleverser tous les acquis, toutes les espérances, tous les paramètres politico-stratégiques qui étaient établis depuis des années. Un pogrom, ni plus ni moins, allait ébranler l’Etat d’Israël sur ses fondations. Le jour sacré de Simhat Torah, un Chabbath qui plus est, des hordes sauvages de terroristes assoiffés de sang, allaient fondre sur tous les kibboutsim et les villages implantés tout prêt de la barrière frontalière avec le territoire de Gaza. Prenant par surprise, de façon inexpliquée, les maisons paisibles, les garnisons militaires en effectif réduit en ce jour de fête, ils allaient assassiner, massacrer, violer, décapiter, kidnapper les habitants et les soldats, submergés par leur nombre. En quelques heures, les victimes tuées et blessées, allaient se chiffrer par centaines.

En quelques heures, le monde entier allait apprendre, abasourdi, le déchaînement de haine et de violence inouïs qui se passait tout prêt de Gaza, en ce jour saint de la « Réjouissance de la Torah ». Ce jour qui concluait les fêtes de Tichri, marqué traditionnellement par la joie et la liesse autour de la Torah, dans les synagogues comme dans les rues d’Israël, allait devenir irrémédiablement un jour de deuil insupportable. Ce jour deviendra désormais le jour de l’opprobre, le jour noir du « 7 Octobre »  anniversaire du début de la guerre du Kippour en 1973, comme il y eut le 11 Septembre à New York.

Ce fut le jour le plus noir, le plus apocalyptique que l’Etat d’Israël ait connu, que le peuple juif ait connu depuis la Shoah !!

Que s’est-il passé depuis ? Le monde réagit de la façon la plus surprenante. D’abord compatissant – on le serait pour moins que cela – il commença après quelques jours à changer de discours, à travestir ses propos, passant de la solidarité totale à la tergiversation, à ses traditionnels appels à « la retenue » à Israël qui, bien sûr, contre-attaqua dans les vingt quatre heures. Du rôle de victime attaquée sauvagement, Israël devint très vite l’attaquant impitoyable. On oublia très vite le 7 Octobre et sa dévastation, pour se préoccuper de cette pauvre population palestinienne bombardée et meurtrie.

En somme, Israël ne n’obtient la compassion des Etats que lorsqu’il est attaqué et qu’il compte ses morts. C’est un Israël faible et courbant l’échine que les nations veulent voir, pas un Israël puissant et triomphant.

L’ancienne Première Ministre, Golda Méïr, avait dit un jour à Richard Nixon : «  Je préfère recevoir des condamnations de l’ONU que des messages de condoléances pour mon peuple ! »

Finalement, dans cette région tourmentée, bouleversée et constamment  bouillonnante, Israël reste le seul ilot ferme, le seul maillon fort, le pilier stable sur lequel les Occidentaux seraient sages de s’appuyer. Son économie est florissante, l’une des plus stables au monde ; son armée l’une des meilleures ; sa technologie, l’une des plus innovantes au monde et les superlatifs ne manquent pas, reconnus de tous.

Dans l’unité, Israël vaincra !

Venez écouter le Grand Rabbin vous délivrer son analyse sur la situation en Israël, à l’occasion de Yom Haatsmaouth.

Béni soit Israël ! Merci D. Tout Puissant. Amen.      

Chaque année, lorsqu’arrive le 5 Iyar, ce Lundi 13 Mai, nous nous demandons ce que nous avons vécu de plus que l’an dernier, de la même façon que nous devons nous demander ce que nous apporte de plus chaque fête que l’année hébraïque nous donne à  vivre, par rapport à la précédente.

Mais cette année 5784 est toute autre à tous les égards ! Elle restera marquée du signe de l’infamie et de l’opprobre, pour toujours.

Celle-ci avait à peine commencé, avec Roch Hachana, Kippour et Soukoth, que la plus grande catastrophe allait survenir sur Israël et bouleverser tous les acquis, toutes les espérances, tous les paramètres politico-stratégiques qui étaient établis depuis des années. Un pogrom, ni plus ni moins, allait ébranler l’Etat d’Israël sur ses fondations. Le jour sacré de Simhat Torah, un Chabbath qui plus est, des hordes sauvages de terroristes assoiffés de sang, allaient fondre sur tous les kibboutsim et les villages implantés tout prêt de la barrière frontalière avec le territoire de Gaza. Prenant par surprise, de façon inexpliquée, les maisons paisibles, les garnisons militaires en effectif réduit en ce jour de fête, ils allaient assassiner, massacrer, violer, décapiter, kidnapper les habitants et les soldats, submergés par leur nombre. En quelques heures, les victimes tuées et blessées, allaient se chiffrer par centaines.

En quelques heures, le monde entier allait apprendre, abasourdi, le déchaînement de haine et de violence inouïs qui se passait tout prêt de Gaza, en ce jour saint de la « Réjouissance de la Torah ». Ce jour qui concluait les fêtes de Tichri, marqué traditionnellement par la joie et la liesse autour de la Torah, dans les synagogues comme dans les rues d’Israël, allait devenir irrémédiablement un jour de deuil insupportable. Ce jour deviendra désormais le jour de l’opprobre, le jour noir du « 7 Octobre »  anniversaire du début de la guerre du Kippour en 1973, comme il y eut le 11 Septembre à New York.

Ce fut le jour le plus noir, le plus apocalyptique que l’Etat d’Israël ait connu, que le peuple juif ait connu depuis la Shoah !!

Que s’est-il passé depuis ? Le monde réagit de la façon la plus surprenante. D’abord compatissant – on le serait pour moins que cela – il commença après quelques jours à changer de discours, à travestir ses propos, passant de la solidarité totale à la tergiversation, à ses traditionnels appels à « la retenue » à Israël qui, bien sûr, contre-attaqua dans les vingt quatre heures. Du rôle de victime attaquée sauvagement, Israël devint très vite l’attaquant impitoyable. On oublia très vite le 7 Octobre et sa dévastation, pour se préoccuper de cette pauvre population palestinienne bombardée et meurtrie.

En somme, Israël ne n’obtient la compassion des Etats que lorsqu’il est attaqué et qu’il compte ses morts. C’est un Israël faible et courbant l’échine que les nations veulent voir, pas un Israël puissant et triomphant.

L’ancienne Première Ministre, Golda Méïr, avait dit un jour à Richard Nixon : «  Je préfère recevoir des condamnations de l’ONU que des messages de condoléances pour mon peuple ! »

Finalement, dans cette région tourmentée, bouleversée et constamment  bouillonnante, Israël reste le seul ilot ferme, le seul maillon fort, le pilier stable sur lequel les Occidentaux seraient sages de s’appuyer. Son économie est florissante, l’une des plus stables au monde ; son armée l’une des meilleures ; sa technologie, l’une des plus innovantes au monde et les superlatifs ne manquent pas, reconnus de tous.

Dans l’unité, Israël vaincra !

Venez écouter le Grand Rabbin vous délivrer son analyse sur la situation en Israël, à l’occasion de Yom Haatsmaouth.

Chaque année, lorsqu’arrive le 5 Iyar, ce Lundi 13 Mai, nous nous demandons ce que nous avons vécu de plus que l’an dernier, de la même façon que nous devons nous demander ce que nous apporte de plus chaque fête que l’année hébraïque nous donne à  vivre, par rapport à la précédente.

Mais cette année 5784 est toute autre à tous les égards ! Elle restera marquée du signe de l’infamie et de l’opprobre, pour toujours.

Celle-ci avait à peine commencé, avec Roch Hachana, Kippour et Soukoth, que la plus grande catastrophe allait survenir sur Israël et bouleverser tous les acquis, toutes les espérances, tous les paramètres politico-stratégiques qui étaient établis depuis des années. Un pogrom, ni plus ni moins, allait ébranler l’Etat d’Israël sur ses fondations. Le jour sacré de Simhat Torah, un Chabbath qui plus est, des hordes sauvages de terroristes assoiffés de sang, allaient fondre sur tous les kibboutsim et les villages implantés tout prêt de la barrière frontalière avec le territoire de Gaza. Prenant par surprise, de façon inexpliquée, les maisons paisibles, les garnisons militaires en effectif réduit en ce jour de fête, ils allaient assassiner, massacrer, violer, décapiter, kidnapper les habitants et les soldats, submergés par leur nombre. En quelques heures, les victimes tuées et blessées, allaient se chiffrer par centaines.

En quelques heures, le monde entier allait apprendre, abasourdi, le déchaînement de haine et de violence inouïs qui se passait tout prêt de Gaza, en ce jour saint de la « Réjouissance de la Torah ». Ce jour qui concluait les fêtes de Tichri, marqué traditionnellement par la joie et la liesse autour de la Torah, dans les synagogues comme dans les rues d’Israël, allait devenir irrémédiablement un jour de deuil insupportable. Ce jour deviendra désormais le jour de l’opprobre, le jour noir du « 7 Octobre »  anniversaire du début de la guerre du Kippour en 1973, comme il y eut le 11 Septembre à New York.

Ce fut le jour le plus noir, le plus apocalyptique que l’Etat d’Israël ait connu, que le peuple juif ait connu depuis la Shoah !!

Que s’est-il passé depuis ? Le monde réagit de la façon la plus surprenante. D’abord compatissant – on le serait pour moins que cela – il commença après quelques jours à changer de discours, à travestir ses propos, passant de la solidarité totale à la tergiversation, à ses traditionnels appels à « la retenue » à Israël qui, bien sûr, contre-attaqua dans les vingt quatre heures. Du rôle de victime attaquée sauvagement, Israël devint très vite l’attaquant impitoyable. On oublia très vite le 7 Octobre et sa dévastation, pour se préoccuper de cette pauvre population palestinienne bombardée et meurtrie.

En somme, Israël ne n’obtient la compassion des Etats que lorsqu’il est attaqué et qu’il compte ses morts. C’est un Israël faible et courbant l’échine que les nations veulent voir, pas un Israël puissant et triomphant.

L’ancienne Première Ministre, Golda Méïr, avait dit un jour à Richard Nixon : «  Je préfère recevoir des condamnations de l’ONU que des messages de condoléances pour mon peuple ! »

Finalement, dans cette région tourmentée, bouleversée et constamment  bouillonnante, Israël reste le seul ilot ferme, le seul maillon fort, le pilier stable sur lequel les Occidentaux seraient sages de s’appuyer. Son économie est florissante, l’une des plus stables au monde ; son armée l’une des meilleures ; sa technologie, l’une des plus innovantes au monde et les superlatifs ne manquent pas, reconnus de tous.

Dans l’unité, Israël vaincra !

Venez écouter le Grand Rabbin vous délivrer son analyse sur la situation en Israël, à l’occasion de Yom Haatsmaouth.

Chaque année, lorsqu’arrive le 5 Iyar, ce Lundi 13 Mai, nous nous demandons ce que nous avons vécu de plus que l’an dernier, de la même façon que nous devons nous demander ce que nous apporte de plus chaque fête que l’année hébraïque nous donne à  vivre, par rapport à la précédente.

Mais cette année 5784 est toute autre à tous les égards ! Elle restera marquée du signe de l’infamie et de l’opprobre, pour toujours.

Celle-ci avait à peine commencé, avec Roch Hachana, Kippour et Soukoth, que la plus grande catastrophe allait survenir sur Israël et bouleverser tous les acquis, toutes les espérances, tous les paramètres politico-stratégiques qui étaient établis depuis des années. Un pogrom, ni plus ni moins, allait ébranler l’Etat d’Israël sur ses fondations. Le jour sacré de Simhat Torah, un Chabbath qui plus est, des hordes sauvages de terroristes assoiffés de sang, allaient fondre sur tous les kibboutsim et les villages implantés tout prêt de la barrière frontalière avec le territoire de Gaza. Prenant par surprise, de façon inexpliquée, les maisons paisibles, les garnisons militaires en effectif réduit en ce jour de fête, ils allaient assassiner, massacrer, violer, décapiter, kidnapper les habitants et les soldats, submergés par leur nombre. En quelques heures, les victimes tuées et blessées, allaient se chiffrer par centaines.

En quelques heures, le monde entier allait apprendre, abasourdi, le déchaînement de haine et de violence inouïs qui se passait tout prêt de Gaza, en ce jour saint de la « Réjouissance de la Torah ». Ce jour qui concluait les fêtes de Tichri, marqué traditionnellement par la joie et la liesse autour de la Torah, dans les synagogues comme dans les rues d’Israël, allait devenir irrémédiablement un jour de deuil insupportable. Ce jour deviendra désormais le jour de l’opprobre, le jour noir du « 7 Octobre »  anniversaire du début de la guerre du Kippour en 1973, comme il y eut le 11 Septembre à New York.

Ce fut le jour le plus noir, le plus apocalyptique que l’Etat d’Israël ait connu, que le peuple juif ait connu depuis la Shoah !!

Que s’est-il passé depuis ? Le monde réagit de la façon la plus surprenante. D’abord compatissant – on le serait pour moins que cela – il commença après quelques jours à changer de discours, à travestir ses propos, passant de la solidarité totale à la tergiversation, à ses traditionnels appels à « la retenue » à Israël qui, bien sûr, contre-attaqua dans les vingt quatre heures. Du rôle de victime attaquée sauvagement, Israël devint très vite l’attaquant impitoyable. On oublia très vite le 7 Octobre et sa dévastation, pour se préoccuper de cette pauvre population palestinienne bombardée et meurtrie.

En somme, Israël ne n’obtient la compassion des Etats que lorsqu’il est attaqué et qu’il compte ses morts. C’est un Israël faible et courbant l’échine que les nations veulent voir, pas un Israël puissant et triomphant.

L’ancienne Première Ministre, Golda Méïr, avait dit un jour à Richard Nixon : «  Je préfère recevoir des condamnations de l’ONU que des messages de condoléances pour mon peuple ! »

Finalement, dans cette région tourmentée, bouleversée et constamment  bouillonnante, Israël reste le seul ilot ferme, le seul maillon fort, le pilier stable sur lequel les Occidentaux seraient sages de s’appuyer. Son économie est florissante, l’une des plus stables au monde ; son armée l’une des meilleures ; sa technologie, l’une des plus innovantes au monde et les superlatifs ne manquent pas, reconnus de tous.

Dans l’unité, Israël vaincra !

Venez écouter le Grand Rabbin vous délivrer son analyse sur la situation en Israël, à l’occasion de Yom Haatsmaouth.

Béni soit Israël ! Merci D. Tout Puissant. Amen.      

Béni soit Israël ! Merci D. Tout Puissant. Amen.      

Béni soit Israël ! Merci D. Tout Puissant. Amen.      

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